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Prêche pour ma propre paroisse…

Chères amies lectrices, chers amis lecteurs,

une fois n’est pas coutume, je vais parler de moi, aujourd’hui. Oui, de moi. Okay, je sais, celles et ceux qui suivent assidûment ce site pourraient objecter que je le fais dans chacune de mes fiches de lecture, et les esprits les plus aigris iront même jusqu’à dire que je parle souvent davantage de moi que des bouquins que je suis censé présenter.

Soit. J’assume, et pour les aigris, je citerai volontiers Anémone et leur dirai « Je suis une princesse, et je vous… » (à compléter par vos soins, lol).

Le mystère de ParisDude… levé

Mais je me suis rendu compte que beaucoup d’entre vous viennent et reviennent ici, sur ce site (je vous en remercie, d’ailleurs), et ne savent pas qui est ce mystérieux ParisDude qui rédige toutes ces critiques époustouflantes (et qui aime bien s’auto-encenser, on dirait). Certes, il y a la page À Propos… sur ce site, mais si vous n’y avez jamais fait un tour, je ne vous en voudrais pas – je sais que l’on le fait rarement, moi compris, sauf si l’on soupçonne trouver des infos sur un blogueur super-canon et espère secrètement tomber sur une photo de lui torse nu (au minimum, voire plus si affinité). Déception, les amies et amis, pour du canon, faudra aller voir ailleurs. Et ne comptez pas sur moi pour exhiber mon torse nu, non plus – l’âge pour ça est loin derrière moi, et le corps pour ça n’a existé que dans mes rêves les plus fous.

Bon, je vous exhibe quand même ma trombine, ci-dessus, car là, au moins, il n’y a rien de quoi tomber en pâmoison ni de quoi avoir honte. Oui, vous voyez, je fume (vilain, vilain), j’ai des lunettes, j’ai la tête rasée (pas chauve, nuance quand même, non mais!). J’ai un piercing dans le nez, et j’ai les poils de barbe qui, petit à petit, « blondissent », on va dire ça comme ça. Normal, j’ai bientôt @#&!%?? ans, ça commence à blondir à cet âge-là. Vous me verrez plus souvent en T-shirt et jeans (ou shorts quand il fait chaud), à peu près toujours en baskets, et à peu près jamais en costume-cravate (surtout pas en nœud papillon, dont mon presque-mari raffole, et je ne sais même pas comment il fait parce que moi, j’étoufferai…).

Au civil, c’est-à-dire quand je ne lis pas des romans M/M ou quand je n’écris pas une fiche de lecture sur l’un d’eux, je suis graphiste (voilà, c’est dit, et on s’en fout aussitôt, merci). Je viens en fait d’Autriche, où je suis né, où j’ai grandi, où j’ai fait mes études (qui n’avaient rien à voir avec le graphisme, et on s’en fout aussi). Je suis arrivé en France à l’âge de 22 ans et suis resté à cause d’une histoire d’amour (raison qui est d’une originalité folle, je sais). Je vis avec mon chéri depuis treize ans, et ça va très bien, merci.

La vie à côté de ce site

J’adore lire, ça, je pense que vous vous en doutez. En allemand (ma langue maternelle), plus souvent en français, et plus souvent encore en anglais. Je rédige mes fiches de lecture (je n’aime pas trop parler de critiques) pour ce site, mais aussi en anglais pour Rainbow Book Reviews (chouette site pour celles et ceux qui maîtrisent la langue de Shakespeare). Si vous y cherchez mes articles, mon pseudo est également ParisDude (en bon habitudinaire, dirait mon chéri).

À côté de ça, je me défends assez bien en cuisine, j’adore voyager et prendre des photos. Et… j’écris. Oui, mes très chères et chers, votre humble serviteur a lui aussi « commis » des écrits: trois recueils de poèmes (en anglais), une collection de nouvelles (en anglais aussi), un recueil de micro-fiction et, à ce jour, quatre romans, dont le premier, Le Cercueil farci, a gagné le Prix du roman gay en 2019 dans la catégorie du roman policier. Je suis un auteur auto-publié, et mes livres sont disponibles sur Amazon (en version Kindle et brochée), mais aussi sur Kobo et la Fnac (en version ebook).

Si vous voulez en savoir plus sur ces activités d’écrivain, je vous invite sur ma page d’auteur, dietermoitzi.com, où vous trouverez toutes les informations nécessaires sur mes bouquins, avec résumé et liens où les acheter, plus des mises à jour régulières sur mes dernières news.

Last but not least, j’ai l’immense honneur d’officier comme rédacteur en chef de notre merveilleux magazine de littérature LGBTQ+, L’Autre Rive, dont les deux premiers numéros sont disponibles gratuitement, à consulter en ligne ou à télécharger.

Voilà, voilà, voilà

Vous savez (presque) tout sur moi, maintenant. Et bientôt, je reviendrai avec de nouvelles fiches de lecture. Si vous piaffez déjà d’impatience de savoir de quoi je vais parler dans les prochaines mises à jour de ce site, consultez la liste à droite, « Nous sommes en train de lire ». Alors, hasta la vista, babies – ou comme dirait mon concitoyen Arnold, « I’ll be back!« 

1 commentaire pour “Prêche pour ma propre paroisse…”

  1. Quelle bonne idée que cette petite bafouille, Dieter. Parce que non, contrairement à ce que tu dis, tu ne passes pas ton temps à parler de toi à travers tes présentations (je n’aime pas non plus le terme de « critiques ») de bouquins ! Bien sûr à travers ce qui te fait réagir on peut deviner un peu de toi, mais fort heureusement, ce n’est pas parce que tu adores tel ou tel personnage, ou tel ou tel contexte de récit que tu as l’ADN de ce personnage ou de cet univers. Sinon tu serais transparent : plus rien à découvrir (vision cauchemardesque, non ?!).
    Ta trombine on l’avait sur ta page accueil, mais on pouvait se demander lequel des deux était toi (sauf qu’Amazon nous donnait la réponse), et là encore je dirai : ouf que tu n’es pas un des hommes fatals qu’on voit sur les couvertures de 90% des « romans gays » (overdose). Merci à tes parents de t’avoir fait tel que tu es (faut-il ajouter : homme tout à fait remarquable au meilleur sens du terme).
    Dieter Moitzi ça sonne beaucoup plus joli que Paris-Dude, mais ça c’est mon opinion de « régionale » (Bretonne en l’occurrence) pour qui Paris est le symbole de mille choses désagréables, à commencer par un a priori de supériorité en toute chose dont, puisqu’on est sur un site de lecture, le livre puisque par exemple un « polar régional » est forcément de la seconde zone par rapport à un polar qui se passerait à Montmartre ou dans le Marais… (certes il y a du pire dans le « polar régional », mais le pire se trouve aussi en « national »). Donc voilà, on est quelques-uns à avoir, culturellement (et pas que) une réaction un peu épidermique au mot « Paris ».
    🙂 Hélas on n’est pas dans un pays fédéraliste.
    Sinon : à quand un petit lien sur ce site vers une page cuisine avec quelques unes de tes recettes ? Et un autre vers une page photo avec quelques-uns de tes clichés ? C’est vrai quoi, puisque tu es si inoccupé…
    Sérieusement Dieter, quel boulot tu abats avec ce site (et effectivement la revue, que je n’imaginais pas si touffue !!! Quel boulot – bis). Comme déjà dit, mon porte-monnaie ne te dit pas merci, car tes présentations donnent souvent envie d’acheter, mais t ne te contentes pas d’un rapide tour d’horizon : tu portes un regard bien personnel sur ce que tu as lu. Donc chapeau, si on pense qu’à côté de ça tu as un boulot alimentaire, et que tu écris. Après avoir lu Putain ordinaire (j’ai mis une critique sur Amazon) j’ai descendu le milliardaire d’une traite (soupirs et rires !). M’en vais aussi aller dire un mot sur Amazon.
    Question tout à fait annexe : l’autrichien c’est de l’allemand ? Je pensais qu’il y avait une différence genre comme entre l’alsacien et l’allemand : ils se comprennent mais ce n’est pas exactement « de l’allemand » ou en tout cas l’allemand standard.
    Euh, j’ai encore envahi. Pardon Dieter, pardon tout le monde

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